
« Inlassable caméléon aux univers originaux, Jonathan Lambert ne s’interdit rien. Parfois dérangeant, voire glaçant, transformant ces tyrans en rois d’opérette, il imagine une future émission intitulée « Un dictateur presque parfait » considérant que ce type de régime « a encore de beaux jours devant lui ». Ce « meeting de leader », comme il l’appelle, doit beaucoup à son décor d’apparat et au ton sûr et nerveux de son protagoniste. Et ce seul en scène atypique nous rappelle que le pire est toujours possible. »
Sandrine Blanchard, blog Le Monde,
13 novembre 2016
De Néron à Dada, en passant par Hitler et Staline, Jonathan Lambert propose un spectacle au charme nord-coréen qui lève le voile sur le plus mystérieux des dictateurs : Mister Kim. Il s’est plongé dans la lecture (bios, mémoires, carnets, témoignages) pour évoquer tous ces fous du pouvoir, en a retiré les anecdotes, les petites histoires, les manies et s’aventure dans une conférence déjantée sur l’intimité et le ridicule de ces tyrans et notamment leur goût pour la moustache.
Inlassable caméléon aux univers originaux, Jonathan Lambert ne s’interdit rien. Parfois dérangeant, voire glaçant, transformant ces tyrans en rois d’opérette…
Habitué à endosser des costumes divers et variés, pour la télévision et notamment chez Ruquier, il crée plusieurs personnages complètement déjantés. Un spectacle frissonnant, atypique, qui nous rappelle que le pire est toujours possible.
Sandrine Blanchard, blog Le Monde,
13 novembre 2016
De Néron à Dada, en passant par Hitler et Staline, Jonathan Lambert propose un spectacle au charme nord-coréen qui lève le voile sur le plus mystérieux des dictateurs : Mister Kim. Il s’est plongé dans la lecture (bios, mémoires, carnets, témoignages) pour évoquer tous ces fous du pouvoir, en a retiré les anecdotes, les petites histoires, les manies et s’aventure dans une conférence déjantée sur l’intimité et le ridicule de ces tyrans et notamment leur goût pour la moustache.
Inlassable caméléon aux univers originaux, Jonathan Lambert ne s’interdit rien. Parfois dérangeant, voire glaçant, transformant ces tyrans en rois d’opérette…
Habitué à endosser des costumes divers et variés, pour la télévision et notamment chez Ruquier, il crée plusieurs personnages complètement déjantés. Un spectacle frissonnant, atypique, qui nous rappelle que le pire est toujours possible.